dimanche 24 août 2014

Jour 28 - Bara san, Shibori d'Arimatsu


C'est dimanche.
On fait un petit déjeuné français avec du jus d'orange, du café glacé, un gâteau aux noix, de la brioche passée à la poële et des oeufs à la coque délicieux.

Je vais à la poste mais elle est fermée, alors je veux juste acheter des timbres au combinis, mais comme ils ne sont pas sûr que les enveloppes sont à la bonne taille, ils ne me les vendent pas. Demain lundi la poste sera ouverte et j'irais.

On part de la maison pour retrouver Yuko à l'atelier. En passant on va voir un café étrange qui est juste à côtés de chez elle. Il n'y a perssonne, on leur demande si il y a de la musique parfois : non; si il font à manger : non; si il vendent de l'acool : non! On peut juste boire du café ou du thé, chiant quoi ! On comprend pourquoi c'est vide !

On prend le bus jusque Sakae, puis on marche jusqu'au studio. Yuko est en plein travail, elle a beaucoup de bijoux à réaliser avant la prochaine exposition.





On va ensemble jusqu'au studio où on a déjà été avec Changmi chan, on va répéter avec Bara san, un ami à elle qui est percussionniste. Arrivé un peu en avance, il attend dans le parking avec sa voiture remplie d'instrument de percussion, il a quasiment amené sa propre batterie. On porte tout jusqu'au studio et on monte tout au 2nd étage avec un petit ascenseur.






On répète une heure, Changmi chan est au violon, on travaille "Ali baba", "Sumimassen", "le déserteur". Puis on fait une pause d'une heure où on va manger dans un restau. vietnamien à côté (jasming nous y rejoint avec son cahier de leçon de kanjis), puis on retourne travailler une heure au studio, on travaille "l'heure tourne", "écris moi", "la bibliotheque brûle" et "hana fubuki".

Il est tard mais on décide de passer tout de même dans un Izakaya, du côté d'Arimatsu, c'est à dire assez excentré par rapport à Nagoya. Le quartier à l'air très calme, l'Izakaya aussi, mais il y a une très grande scène avec une batterie donc ça peut être intéressant.




On peut choisir une date pour jouer si on veut. On repart sans avoir bu un verre et retraversons le quartier d'Arimatsu, dont j'apprend qu'il est célèbre depuis le XVIIeme siècle pour l'art du Shibori (tissu teint façon taï&daï) qui y est pratiqué avec excellence.

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